Larmes de nymphes

Cette histoire est dure a raconter... Cela m'est arrivé lorsque j'étais enfant... A present, ce bois me fait peur... Depuis qu'elle m'a été prise, je ne cesse de repenser a cet après-midi terrible... Pourquoi était elle si dure avec moi ce jour-là?
C'était un aprè midi... Un terrible après-midi... Ma vie a basculé...

Cela fait trois fois que je lui dis que cette histoire est dure à raconter ...
Pourquoi force-t-il? Que veut-il de moi?
Il me croit coupable ... cela fait 1 semaines que je suis ici.
Je leur ai déjà raconté ... mais tout leur manque.

Un cris de sa part m'enleva de mes pensées
" Juliette ! Au plus tu traîneras, au plus tu resteras ici. Il faut que tu nous disent, ce qu'il s'est passé ce jour-là, il y à deux semaines ! Tout les moindres détails."

Ils me rendaient malade, comment pouvait - il être si indifférent face à la mort. La mort de quelqu'un qui vous donne la vie!
Les nosées me prenaient ...
Et il se mit à crier des mots que je n'entendais même plus ... je voyais flou; j'entendais qu'il me disait coupable. Je me souvenais du bois ... de cette couleur amère qui m'entourait, et cette couleur rouge sur sa poitrine.
Ma vue se troubla, et je tombit de ma chaise, allongée par terre dans cette salle d'interogatoire ...

En me réveillant je me rendais compte que je n'avais pas rêvé... Mon père me retenait ici, dans cette maison ou j'avais grandi, cette maison ou j'étais née, ou elle m'avais vu grandir...
Mais en même temps je comprenais sa réaction... Enfin j'essayais...
J'étais partie me promener avec elle a mes cotes, j'étais revenue couverte de sang sans elle... Pourtant je n'avais rien fait...
Nous nous sentions suivies depuis le départ.. Elle me semblait soucieuse dès nos premiers pas dans cette fôret lugubre...[i]

Mon père avait peur pour moi,
j'étais à présent la seulle chose qui lui restait ...
Et peut-être allait-on me prendre ... m'emmener.
Je sorti de mon lit, mes peids sentait le froid du plancher.
Il y avait un silence, que nul n'avait jamais entendu.
J'avais comme un mauvais présentiment ... je passa dans le hall vers le salon,
j'entedais des voix, des chuchotements ... derrière la porte, papa en larmes, entouré de monsieur habillé tout en bleu.

Papa me regardait dans les yeux,
les siens étaient pleins de larmes.
Qui était ces gens, que venait-il faire? Je le savais très bien, mais je m'y refusais.
L'enquête n'avait emboutit à rien ... seulement moi.
Seulement cette fille aux yeux vert percant et au cheveux brun.
Qu'allait-il faire de moi?
Me garder? Me faire parler? Me faire dire ce que je n'ai jamais pensé. Me faire avouer des mensonges.
Un gendarme pris enfin la parole et perca le silence.
" Julliette, nous sommes dans l'obligeance de vous emmenez"
Mais jambes se mirent à courir, je ne voulais pas les fuire uex, mes fuirs mes cauchemards, fuire la justice, fuire le mal ...
Je courrais de plus en plus vite, et j'ettendis les hommes courire derrière moi !

Je comprenais leur réaction... Mais impossible de m'arrêter... De plus je sentais que quelque chose brulais au fond de moi... Vous savez c'est difficile de se dire qu'on est la fille de quelqu'un a qui on ne ressemble pas... Mes parents sont tous les deux blond aux yeux bleus... C'est pour cela que l'on m'accuse aussi... Peut-être ne suis-je pas vraiment de cette famille... Qui sait... en attendant, mes pieds me portent vers la foret... Que vais-je faire... Pui je m'y enfonce puis je pers le sens des realités... J'ai l'impression de la connaitre depui tellement de tmeps... Les hommes ne me poursuivent plus...
Je suis seule...

Tiens quel est ce bruit?

Je ne vois rien autour de moi ... tout est calme, sauf le bruit qui se rapproche de plus en plus.
Je sens une présence, mais je ne voit rien.
La neige tombe sur les branches ... tout est couvert de blanc.
Mes pieds, nus, s'enfonce dans la neige et perde toute sensations ...
" Qui est là? AIDEZ-MOI !" Je crais à travers la foret ... en vain, il n'y avait personne.
Pourtant cette présencé, et encore ce bruit.
Le bruit d'un soufflement, tel le vent qui se glisse à travers les arbres dépourvu de feuilles.
Je me laissa tomber sur mes genoux ... qu'allais-je faire?
Les hommes de la justice me poursuivait, mon père allait rester seul. Me croyait-il lui? Quelle fille aurait-donc le courage de tuer sa propre mère?

Le bruit se transforma, encore plus fort ... et des mots se formaient à travers le souffle du vents.
" Reste forte ma chérie ... Puise au fond de toi. N'oublie pas qui tu es, et il y aura toujours un chemin"

Les larmes se mirent a couler... puis un nouveau sentiment... Le soulagement? peut etre...

je recommencais ma course efrenée, je sentais que mes pieds savaient exatement ou ils allaient... soudain, apparut une clairiere... Un rocher se tenait en son centre...
je m'approchai prudement guettant le moindre bruit qui pourrait rompre le silence...

Sur le rocher étaient dessinées des fées ...

Je fusse saisie, mais ne bouga pas, car la force me manqua.
Le froid m'envahissait, la fatigue, la haine, la tristesse ... le déséspoir !
Maman me souhaitait bonne chance?
Que devais-je faire?
Je ne pouvais retourner à présent ... Mais qu'allait-il arriver à papa?
Allaient-ils l'emmener?
Ou pouvais-je aller? Chez qui? Quelle allait êtr leur réaction?

Je ne voyais qu'une personne ... mon ami d'enfance.
Il vivait dans une famille d'acceuil, ses parents n'étaient pas mort, mais il fut abandonner à sa naissance.
Il n'était pas heureux avec cette famille.
Je savais que pour moi, il ferait tout.
Je rassembla mes forces, et partit.
Après quelque temps, j'arriva devant sa porte ...
Mon doigt appuya sur la sonnette !