Malgré ce que j'avais dit, voici un poême tout récent puisque datant de ce matin (vive les écrits à 1:00 lol).
Les pleurs d'un vampire
Où es-tu toi qui canalisait mon âme ?
Toi eternelle et froide rosiebre
A mes yeux trop jeunes et néophytes.
La nuit close sans une parole,
La peur s'accroissant dans un morbide decompte.
Mon coeur ne cesse de hurler ton nom
Quand mon encéphale las perd sa téléphatie
Faible et inutile au delà des mers.
Quand les murmures à mes oreilldes
Des étoiles de la mort se font si envoutant,
Je ne resisterais à l'envie fréquente
En ton absence meurtrissante,
De pleurer des larmes de sang sur mon oreiller,
Implorant en vain, forcément, le ciel de te ramener.